À la lumière de la Biologie, science de la vie, nous apprenons que l’humain, au cours de son évolution, a perdu la faculté de pouvoir se nourrir de protéines animales. Ainsi, au fil des millénaires, par mutations successives et répétées, nos gènes ont perdu la qualité nécessaire à pouvoir gérer les purines d’origine animale.
En fait, lors du processus digestif de produits animaux, on produit de l’acide urique qui, au fil du temps, va s’accumuler partout dans l’organisme pour se cristalliser à des endroits stratégiques, dont nos articulations et à l’intérieur même de nos organes vitaux dont le plus important de tous 1 : le coeur 2.
Aujourd’hui, cet acide urique est présent partout, en quantité plus importante qu’à la normale dans la plupart des maladies connues. Ceci, à tel point, qu’il serait à l’origine sinon l’agent déclencheur de toutes ces maladies, plus morbides les unes que les autres.
En contrepartie, par la multiplicité de ses formes, le végétal nous fournit tout ce dont notre organisme a besoin pour vivre une vie impeccable, sans connaitre la maladie. Ceci, tel qu’il a été prédit lors de la première recommandation faite à notre endroit 3.
Validé par plusieurs professionnels de la santé, partageant science et conscience, libres de toutes influences extérieures dont celles des lobbys, confirment le fait que de végétaliser son alimentation est plus que bénéfique, tant pour notre santé que notre longévité et nous tiendrait à l’écart de toutes ces maladies connues.
Par conséquent, l’élevage animal n’a plus aucune raison d’être. D’autant plus que cette industrie participe activement à la déforestation pour en monopoliser la plupart des terres agricoles à ses fins. Ceci, tout en émettant plusieurs gaz réputés à polluer et à réchauffer encore plus sévèrement que peut le faire, à ce jour, l’exploitation des énergies fossiles. Alors, pourquoi s’entêter à faire perdurer toute cette souffrance animale ?
De même, ne serait-il pas le temps de reconnaitre l’entière réciprocité entre nous et le végétal ? Ce même lien où nous aurions tout avantage à vivre en symbiose avec l’ensemble du monde du vivant. Protéger toute la création dont nous sommes bénéficiaires afin de s’assurer de sa pérennité n’est elle pas, en définitive, notre destinée ?
L’ensemble du monde du vivant est merveilleux. Tout y est lié de façon inextricable et d’une manière telle qu’elle dépasse tout entendement. Conscients de toute cette magnificence, il ne nous reste plus que de prendre soin de ce fabuleux jardin dans lequel nous avons tous à évoluer et par lequel nous sommes tous définitivement liés.
1– Pour l’ensemble des courants spirituels, le coeur joue un rôle primordial puisqu’il est le réceptacle de la conscience divine en nous. Et pour qu’elle puisse s’exprimer, nous devons le protéger de tous malaises l’empêchant de jouer son rôle comme il se doit. C’est, entre autre, l’avis de Sri Aurobindo, spiritualiste indien qui affirmait que notre coeur est le point d’ancrage avec notre moi supérieur faisant partie constituante de l’UN, communément appelé Dieu.
Par ailleurs, le Kototama, originaire du livre du Kojiki, perçoit le coeur comme le miroir de « tout ce qui est ». Par conséquent, il est prioritaire de voir à son entretien. Surtout par la pratique de la Bienveillance en tout et partout. Telle est la voie, notre voie.
2 – Au niveau physique, toutes les maladies cardiovasculaires comprennent la présence d’acide urique qui représente en fait, un danger réel pour toutes les maladies cardiovasculaires. Ce phénomène est connu depuis au moins un demi siècle. Et pourtant, rien n’est fait. Pourquoi ?
Voici l’avis des spécialistes en cardiologie !
3 – Cette recommandation a été exprimée au tout début par Abraham, père reconnu de toutes les religions monothéiste Genèse 1:29 Et Dieu dit: Voici, je vous donne toute herbe portant de la semence et qui est à la surface de toute la terre, et tout arbre ayant en lui du fruit d’arbre et portant de la semence: ce sera votre nourriture.