Description
Les poivrons font partie de la famille des solanacées, tout comme la tomate, l’aubergine et la pomme de terre. Souvent confondus sous le nom de piments, les poivrons sont tout au contraire d’une saveur douce et sucré, très agréable à manger cru.
Seulement il faut faire attention aux semences qui ont la réputation d’être toxiques. Aussi, pour les éviter, il faut en évider le contenu de la coquille que vous laissez tomber dans une assiette. Et, suffisamment espacées, elles pourront sécher en toute tranquillité pendant quelques jours, à l’ombre et à la température piève. Ensuite, il suffit de les ensacher pour les planter au moment voulu, tel indiqué dans tous les calendriers de semis correspondant à votre biotope/zone de rusticité respective.
Les poivrons sont savoureux, riches en eau et en fibres. Leur contenu est abondant en antioxydants, minéraux divers et en vitamines C, E et bêta-carotène. Leur consommation est encouragée en tout temps parce que les poivrons doux sont associés à une meilleure santé ainsi qu’à leur protection contre la plupart des maladies de civilisation 1.
Par ailleurs, le piment fort est aussi une mine de vitamines, minéraux et antioxydants variés. Mon préféré est le piment de cayenne. Évalué de force 7 sur l’échelle de Richter des piments, il est considéré comme légèrement supérieur à la moyenne du piquant que certains peuvent exhaler de façon hyper tonitruante comme les piments « Habanero » ou ceux appartenant au type de « Ring of Fire » qui arrachent littéralement tout sur leur passage. Très appréciés en Asie, en Orient ou en Amérique du Sud, je trouve que le piment de cayenne convient mieux à la plupart des gens vivant sous un climat tempéré.
En général, le piment fort est réputé pour accélérer le métabolisme, il diminue la fatigue et stimule le système nerveux, il favorise la cicatrisation et soutient le système immunitaire et, de plus, il protège l’organisme du stress oxydatif menant aux maladies chroniques tout en participant à la circulation de l’énergie dans l’ensemble du corps.
Et, comme si ce n’était pas assez il contribue à l’entretien des cartilages et des os, à la formation des globules rouges, régule le taux de sucre sanguin de même que l’équilibre acidobasique de l’organisme 2. Avouons que pour un si petit fruit, ses performances sont assez épatantes.
Pourquoi ne pas en saupoudrer un peu partout dans nos plats quotidiens ? Tout ce qu’on risque, c’est d’en bénéficier et de pouvoir vivre une vie sans maladies. Tout comme ceux qui intègrent le véganisme intégral dans leur vie. Même pour nos économies qui n’ont plus à s’occuper de malades. Cet argent pourrait alors être investi dans l’éducation véritable, les arts et le pouvoir de vivre en paix, en toute Bienveillance. Tant pour soi que pour tous les autres. C’est pour cette raison qu’il faut claironner sur tous les toits que le véganisme intégral ne comporte que des avantages ! Que du bon !
1 – BBC NEWS ARIQUE
2 – HERBONATA